Vous trouverez ci-dessous quelques photos et un commentaire d'adhérent à l'Association à propos du recul du trait de cote lors de la tempête du 28 septembre, conjuguée au coefficient de marée de 116.
Les dégâts sont manifestes tant à la dune d’Amont, qu’au pied de la digue, et à la dune d’Aval.
En particulier, on remarque clairement que le travail de sape des vagues au pied des dunes provoque des coulées de sable partant pratiquement du sommet de la dune, la détruisant ainsi inexorablement.
Et l’apparition de la dalle à la base des escaliers de la digue ainsi que l’abondance des rochers au pied de la digue témoignent à suffisance de la baisse de l’estran.
Les dégâts sont manifestes tant à la dune d’Amont, qu’au pied de la digue, et à la dune d’Aval.
En particulier, on remarque clairement que le travail de sape des vagues au pied des dunes provoque des coulées de sable partant pratiquement du sommet de la dune, la détruisant ainsi inexorablement.
Et l’apparition de la dalle à la base des escaliers de la digue ainsi que l’abondance des rochers au pied de la digue témoignent à suffisance de la baisse de l’estran.
Le rechargement opéré par la Communauté de Communes juste avant cette tempête a bien répondu au besoin de protection de la dune d'Aval !